La ferme collective autogérée en polyculture‐élevage du Groupement agricole d’exploitation en commun (Gaec) « Radis & Co » est située sur la bassin versant de la Mayenne, dans la commune de Montflours. Dans ce maillage bocager, sur 42 hectares, cinq paysans produisent des denrées alimentaires et pratiquent la vente directe (Amap, marché, magasin bio) : 2 maraîchers, 1 éleveur, 1 fromager, 1 paysan‐boulanger.
Jeanne et Pierre sont enseignants en collège en Seine Saint‐Denis. Ils ont participé au mouvement de grève du printemps dernier et ont lancé un site internet, lebuisson.org, sur lequel ils ont recueilli des textes et des témoignages sur cette grève et sur l’enseignement en général. Ils viennent a notre micro pour nous en parler et pour discuter plus généralement de l’éducation.
À l’appui de l’ouvrage de feu David Graeber, « bullshit jobs », nous vous proposons un retour d’expérience.
La division du travail, le taylorisme ont fait perdre à la classe ouvrière le sens de ce qu’elle avait la capacité de réaliser convenablement ; De son épanouissement dans un labeur librement consenti pour la collectivité ; et la maitrise de son temps libre en tant qu’individu.
En introduction d’émission nous retrouvons la chronique « les pensées du Mercator ».
Présentation et discussion du livre de Cara New Daggett « Pétromasculinité » qui dissèque brillamment (quoique un peu pesamment aussi) les liens peut‐être inattendus, mais sans aucun doute puissants, entre obsession de l’usage des énergies fossiles, et patriarcat. La démonstration est sans failles !
Histoire de cette journée, visites prévues, femmes mise en valeur.
Émission animée par Sam et Mariama du groupe Louise‐Michel avec Victor Pereira, l’auteur.
C’est le peuple qui commande : La Révolution des Œillets 1974–1976
Pas de quartiers reçoit l’historien Victor Pereira pour présenter son dernier ouvrage sur les 50 ans de la révolution des œillets.
Au Portugal, il y a 50 ans, le 25 avril 1974, de jeunes officiers, soutenus par une grande partie de la population, renversaient l’Estado Novo, régime autoritaire mis en place par António de Oliveira Salazar en 1933.
La fin de cette dictature de près de 40 ans signera également l’arrêt de mort d’un empire colonial européen majeur.
Trop souvent réduite à un coup d’État pacifique qui ne dure que quelques heures, la Révolution des Œillets et ses conséquences (décolonisation, mobilisations sociales, quête d’une voie socialiste originale) sont encore mal connues. Cet ouvrage offre une synthèse actualisée du processus révolutionnaire portugais. Il analyse non seulement la dynamique révolutionnaire, les oppositions entre partis politiques et militaires, les inquiétudes diplomatiques (cette prise de pouvoir démocratique est aussi socialiste), mais aussi les différents mouvements sociaux qui tentèrent de transformer radicalement la société portugaise, pour enfin penser ensemble ces éléments qui le sont rarement.
V/A :
en direct à propos de ses deux dernières parutions jeunesse, dans une nouvelle série de courts romans historiques (« le musée secret de Sami et Lola ») chez Rue du Monde (ill. Bruno Pilorget) : enquête n°1 « Le garçon aux dents sculptées » & n°2 « La vieille dame, le chat volant et le débarquement »
l’évolution depuis « la fête des mères » et « le chat de Tigali » (fin des années 80)
C.D. : le Ba Ya trio 2017 « tour du monde »
Dans cette émission on écoute un audio sur l’enfermement des femmes palestiniennes dans les prisons d’Israel, depuis 1967 jusqu’au 7 octobre dernier, puis après le 7 octobre dans le contexte de guerre génocidaire actuel. Il s’agit de l’enregistrement d’une intervention lors d’une journée organisée le 17 avril 2024 à Valence en soutien aux prisonnièr.e.s palestinien.ne.s. Bonne écoute !
La question du nucléaire ne peut être pensée sans réfléchir au mix énergétique et surtout sans voir que la question centrale est la demande énergétique que la production énergétique.
Parlons donc de la demande énergétique.
Notre invité : Gérard de Cortanze pour Il ne rêvait plus que de paysages et de lions au bord de mer, roman paru chez Albin Michel.
Le Festival Shakirail 2035 est organisé en collaboration par le Shakirail et le collectif 2035 les 27 et 28 septembre. Lieu culturel et solidaire situé dans le 18e arrondissement de Paris et dédié aux artistes, aux associations et à la vie du quartier, le Shakirail sera représenté par Damien Thonnard. C’est Louis Prado et Thomas Zelinski qui reviendront nous voir pour 2035, ils nous présenteront la programmation et les motivations de ce nouveau festival.
La technique autoritaire, n’est‐ce pas un savant pléonasme ? C’était le thème des 11èmes rencontres de l’association Technologos. Nous diffusons une sélection des interventions qui ont eu lieu le vendredi 20 septembre au CICP à Paris.
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