On n’ira pas à l’usine !!!
Contre l’égalité des chances, contre la mixité sociale, pour l’égalité sociale
Contre l’égalité des chances, contre la mixité sociale, pour l’égalité sociale
Émission consacrée à l’instance représentative du personnel dite CSE : comité social et économique.
Un thème que nous avons souvent abordé, sans toutefois évoquer les attentes des syndicalistes révolutionnaires au sein de cette instance qui peut tout à la fois être un outil de lutte de classe que l’organe de cogestion de la politique sociale du patronat.
En introduction d’émission nous retrouvons la chronique « les pensées du Mercator ».
Présentation d’une très utile somme sur le métier de mineur, « Le Peuple de la Nuit », de Diana Cooper‐Richet. Pour une fois un bon livre dans la collection si souvent médiocre appelée « Tempus »
Extraits de ses spectacles les plus célèbres :
Rediffusion de l’émission du 26 mars 2024 avec Monique Dental et Marie‐Josée Pépin, L’I.V.G. dans la Constitution et après ?
Le 17 janvier 1975, la loi autorisant l’Interruption Volontaire de Grossesse (I.V.G.) dite loi Veil est adoptée pour une période de 5 ans. Les dispositions de la loi de 1975 seront rendues définitives avec la loi du 31 décembre 1979.
Cinquante ans plus tard, la Loi du 8 mars 2024 inscrit dans la Constitution de 1958 la liberté garantie des femmes de recourir à l’interruption volontaire de grossesse…
Émission animée par Mariama Keita du gr Louise‐Michel.
Pas de Quartiers reçoit Hélène Hernandez pour son dernier ouvrage intitulé La guerre contre les femmes, les femmes contre la guerre publié aux éditions du Monde Libertaire.
Des livres sur le féminisme, le pacifisme, l’antimilitarisme, la révolution sociale…, il en existe des kilomètres. Mais la plupart du temps, ils ont le nez sur le guidon de leurs particularismes respectifs.
Ce livre détonne dans ce paysage tout de lutte « principale » et de luttes « secondaires ».
Son titre, « La guerre contre les femmes, les femmes contre la guerre », indique clairement le sujet qui y est abordé. Mais il y est abordé d’une manière rarissime.
La lutte des femmes contre l’oppression patriarcale et le sort qui leur est réservé lors des guerres s’y conjugue en effet aux mêmes temps que les luttes pacifistes, antimilitaristes, anti religieuses, anti capitalistes… et s’inscrit clairement dans une lutte globale de révolution sociale. Il est composé de textes anciens de militantes féministes révolutionnaires et de textes récents d’Hélène Hernandez publiés principalement dans Le monde libertaire, le journal « sans dieu, ni maître » de la Fédération anarchiste. Les différentes problématiques du féminisme y sont analysées tout à la fois au microscope de leurs spécificités et au télescope de leur universalisme social. De ce point de vue, mais on l’aura aisément compris, c’est un livre qui met le rêve au cœur des luttes féministes et de beaucoup de luttes.
V/A :
« Histoire de la musique classique au féminin » est le sous‐titre du livre Mozart était une femme par Aliette de Laleu, Champs poche 2024
extraits de l’introduction et du chap. 4 « les guerrières romantiques » : Fanny, Clara et Alma
extraits musicaux de ces 3 compositrices parmi les empêchées, pillées ou effacées.
7 décembre 2016 n° 12 Armand Gatti poète, 1 : l’Espagne insurgée,
Premier anniversaire de l’émission.
Stéphane Gatti explique le lien qui unit son père à la révolution espagnole depuis l’enfance puis Armand Gatti (enregistré à la Maison de l’Arbre de Montreuil le 8 novembre 2016) lit un hommage sans titre et inédit à la Nueve.
Musique : « Liberation music orchestra » Charlie Haden et Carla Bley 1969
Extrait de « Armand Gatti dans le maquis des mots » de JJ. Hocquard & P. Tanon 2014 Actes Sud
Chanson : « L’homme parle » 2016.
Pendant la guerre d’indépendance algérienne, de 1954 à 1962, près d’un tiers des détenus dans les prisons de France métropolitaine étaient algériens, du fait, entre autres, d’une panoplie de moyens répressifs créés spécifiquement à cette période. Les taules, notamment celle de Fresnes, sont alors fortement marquées par les enjeux liés à la guerre d’indépendance : un rapport de force permanent entre le front de libération national (FLN) et l’administration pénitentiaire, les négociations pour un statut de prisonniers politiques, ou encore le déplacement en prison du conflit sanglant entre le FLN et son concurrent, le mouvement national algérien (MNA).
Bonne écoute !
Nathalie Solence, Claude Gaisne et Alain Callès (qui sort un nouveau livre) recevront avec grand plaisir Agnès Collet, aci, qui présente un nouveau spectacle le 8 février au Danube Palace Café Paris (12 rue de la Solidarité 75019).
« AU CLAIR DE LA TERRE » avec Francis Mimoun (piano) et Robert Coliné (percussions).
Agnès interprétera quelques chansons en direct. Nous aborderons bien sûr l’actualité de la chanson et nous entendrons quelques perles issues
(Albin Michel)
En première partie d’émission, des nouveautés et nous recevrons ensuite l’attachée de presse de La Seine Musicale, Marie Britsch, pour nous parler du programme jazz à venir, de ses coups de cœur et de son métier.
Valentin Ceccaldi est un violoncelliste, bassiste, compositeur et improvisateur qui a une approche singulière de ses instruments, qu’il met en œuvre dans de multiples formations et collaborations, telles que ses duos avec Leila Martial et Yom ou Kutu avec son frère Théo. Il vient nous voir le jour même de son concert avec Bonbon Flamme à la Dynamo de Pantin et avant Lagon Nwar le 11 février à Fontenay sous‐bois, dans le cadre de Sons d’hiver.
Tous les ans des milliers de personnes perdent la vie ou sont portées disparues en tentant de quitter leur pays, la guerre ou la misère. Depuis 11 ans, une « CommémorAction » s’organise dans plusieurs points du monde pour ne pas oublier. Rien qu’en 2024, plus de 10 400 personnes sont mortes ou portées disparues en tentant de rejoindre l’Europe, la plupart (9750) en empruntant la route de l’Espagne par l’Atlantique, le reste (700) en Méditerranée (source Caminando Fronteras).
Gino est un militant antifasciste d’origine albanaise qui réside depuis des années en Italie. Le 11 février 2023, avec d’autres militants antifa venus d’Allemagne ou d’Italie, il est allé à Budapest pour faire front face aux organisations suprémacistes néofascistes qui se donnent rendez‐vous dans la capitale hongroise tous les 11 février. Cela pour célébrer le « jour de l’honneur », en 1945, lorsque l’armée nazie et ses supplétifs hongrois ont tenté de percer le siège que maintenait l’armée rouge autour de Budapest.
Suite a cette contre‐manif de 2023, une vingtaine de militants antifa sont poursuivies par la justice hongroise, pour des faits de violences en bande organisée, voire mème de terrorisme, et qui risquent en gros 16 ans de prison. La Hongrie a donc émis des mandats d’arrêts européens pour les retrouver. Mais certains se sont faits arrêté à Budapest quelques jours plus tard. C’est le cas d’Ilaria Salis, une institutrice italienne qui a passé quinze mois en détention provisoire en Hongrie pour la même affaire. Elle témoigne dans la séquence réalisée par le Studio Son de la Parole errante (publiée le 10 janvier 2025). Et puis il y a donc Gino, qui a été interpellé en France en décembre, il dort en ce moment en prison, à Fresnes. La justice française doit donc examiner la demande d’extradition de la Hongrie et l’audience déterminante aura lieu a la cour d’appel de paris mercredi prochain le 12 février (rassemblement 12h devant le tribunal Mo Cité).
Le tatoué annonça alors la fin du spectacle et remercia tout le monde d’être venu. Le vampire parut déçu.
Tandis que les spectateurs partaient sans remarquer Huguette‐qui se fit la plus petite possible‐le regard violet se posa à nouveau sur elle. La langue trop longue s’échappa des lvres pour recueillir le sang sur le menton.
Les yeux du vampire semblaient supplier, lui dire « Libère‐moi, petite fille amoureuse des monstres, toi qui rêves de moi et me comprends. Libère‐moi et je te donnerai la force qu’il te manque, je te montrerai à quel point tu peux être puissante et belle. » Elle se voyait si jolie en reflet dans ses prunelles. Elle aurait eu envie de les croire, de faire quelque chose pour lui, comme elle aurait voulu faire quelque chose pour son amie dans la cave. Mais elle savait qu’il fallait se méfier des vampires,encore plus que des vouivres. Les films qu’elle avait vus s’accordaient tous sur le sujet
MORGANE CAUSSARIEU‐VISQUEUSE‐AU DIABLE VAUVERT
La jeune fille, dans cet extrait, vient d’assister, en cachette, à un fabuleux spectacle de freaks dans un cirque itinérant. Son père retient secrètement une « créature » de la plus belle eau, et l’épicier du village organise régulièrement des projections des films Universal Horror des années 30. Car l’histoire se déroule en 1936.
Morgane Caussarieu livre dans ce roman, son amour pour le cinéma de genre. Elle nous appellera de Berlin ou elle vit et travaille comme tatoueuse, pour ouvrir cette émission.
La disparition d’un journal satirique n’est jamais très bon signe. Et avec celle de Siné Mensuel, programmée au mois de mars prochain on ne peut que s’inquiéter. Catherine Weil‐Sinet, qui a fait vivre le titre après le décès de Siné, vient nous parler de cette aventure qui s’arrête avec J.P Bouyxou.
Mais avant d’entamer ce programme, le sixième épisode de Vinaigrette et le Réveillon des Chiens ouvrira ce Bulles Noires !
Avec Marie Anne Guilbert dans le rôle de Vinaigrette, Jean‐Pierre Dumonteil dans celui de Papouf le clown robot, mais aussi on retrouvera J‐C Deta qui joue Balistère le Dingo, Philippe Bouget est Fox Furieux et Jean‐Luc Mollard Loulou.
Et bien sur le narrateur est Le Petit Nicolas !
La réalisation est due à J.L Mollard, les bruitages J.P Dumonteil.
La musique est de Mister Niet et l’arrangement pour cuivres de Laurent Katz, avec Larry Gillepsie à la trompette.
Programmation musicale avec la rediffusion du programme enregistré avec les 27 1ers indicatifs
« Requin Velours » de Gaëlle Axelbrun : L’histoire d’une fille qui se transforme en requin pour ne plus être la proie. En compagnie de deux « loubardes » on la voit dans un ring de boxe, chercher réparation - elle a subi un viol - par tous les moyens : « Ce sera impudique, car la honte a sauté » disent‐elles, et : « C’est un sujet grave et banal, abordé comme seules des personnes concernées pourraient le faire ».
Ce qui est vrai aussi pour Samaa Wakim et Samar Haddad King, deux artistes palestiniennes et leur performance dansée et sonore « Losing it » (perdre la raison) qui transpose les traumatismes de la populuation palestiniennes entre bombardemnts, checkpoints, hélicoptères et guerre psychologique.
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